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Dimitri Coumond, sommelier passionné

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Posté par Communication

28 mars 2021

Comme une évidence… Dès ses premières années au Lycée des métiers de l’hôtellerie et du tourisme en Guadeloupe, Dimitri Coumond s’est découvert un goût et un talent pour la sommellerie. Il en a fait son métier, qu’il exerce depuis six ans avec la même passion, en étant guidé par le plaisir de partager ses « inspirations gustatives » avec tout un chacun.

#Etudes

« Après un CAP, puis un BAC en restauration au Lycée des métiers de l’hôtellerie et du tourisme à Gosier obtenu en 2009, j’ai effectué en Île de France une « Mention complémentaire sommellerie », en alternance chez le groupe Duclot des Moueix (ndlr : une grande famille bordelaise du vin). Diplômé en 2013, j’ai ensuite exercé dans le restaurant Un Dimanche à Paris. Cependant, mon projet professionnel étant de devenir majordome, j’ai choisi d’intégrer l’Académie des gouvernantes afin de suivre leur formation en la matière. »

#Motivation

« J’ai appris à aimer le vin pendant mon cursus à l’école hôtelière, car lors de nos cours de technologie restaurant, nous apprenions beaucoup sur les régions françaises, la gastronomie, les différents modes de service appropriés. D’autre part, ma grand-mère était une grande dame qui m’a transmis de belles valeurs, notamment l’altruisme et le goût de prendre soin des autres.

Enfin, ce métier de sommelier répond à ma passion pour la nature, l’histoire, le patrimoine, la découverte de produits. »

#Qualités

« Pour être un bon sommelier, il faut être ouvert d’esprit, posséder un palais et un odorat développé, une inspiration gustative et surtout avoir la passion de la vigne, mais aussi le sens du service et de l’organisation. En effet, ma profession consiste à prodiguer des conseils pour choisir son vin afin qu’il aille parfaitement avec un met, mais également à bien gérer la cave à vin. »

#Dégustation

« Pour un sommelier, une dégustation parfaite se décompose en deux phases. La première, un peu technique se déroule en fin de matinée, au moment où tous les sens sont avisés et les perceptions gustatives exacerbées. Le vin est jugé seul, sur ses qualités intrinsèques. La seconde dégustation a lieu au moment du repas, pour vérifier que les mets sont bien en accord avec le vin. »

« J’ai particulièrement plaisir à faire connaître les terroirs et les hommes qui élaborent les vins, car derrière chaque bouteille dégustée, il y a une histoire humaine à raconter, d’autant plus qu’elle a une influence sur la qualité du produit. »

Instagram : D’im Comon – @dimitri.comon

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