La Guadeloupe jamais très loin… Kareen Guiock, présentatrice vedette du journal télévisé de la chaîne M6, a beau vivre à des milliers de kilomètres de l’archipel, elle en est restée très proche. Ses goûts culinaires en sont bien la preuve. La journaliste a bien voulu accepter de jouer le jeu du « Et si… ».
… vous deviez citer un plat caribéen incontournable ?
Le lambis, le fricassée de lambis. C’est le fruit de mer que je préfère. J’ai visité plusieurs îles de la Caraïbe et dans chacune d’elles j’ai trouvé un plat à base de lambis.
… vous ne pouviez dîner que dans un seul restaurant le restant de votre vie ?
Un seul ? Ce serait un restaurant asiatique alors. J’ai grandi en Guyane où les cuisines asiatiques sont omniprésentes et ont formé mon palais. J’hésite parce que j’en connais beaucoup de très bons, mais il y en a deux où je pourrais manger tous les jours. J’en salive rien que d’en parler. Foc Ly, cuisine chinoise et Thaï à Neuilly sur Seine, juste à côté de la chaîne M6. Et Kao Thaï, un restaurant thaï dans le 6e arrondissement de Paris.
… vous aviez la capacité d’éliminer définitivement un aliment que vous n’aimez pas ?
Ce serait injuste pour les autres ! Il y a peu d’aliments que je n’aime pas, d’autant que je me rends régulièrement compte que j’apprécie des aliments que je ne pensais pas aimer. Tout dépend de la manière dont ils sont préparés.
En revanche, je suis sévèrement allergique aux crevettes et aux langoustes. Toutefois, tant de mes proches les adorent, alors je ne les éliminerais pas.
… vous pouviez commander le dessert de vos rêves tout de suite ?
Un tourment d’amour. J’adore les tourments d’amour. J’ai réussi à développer un réseau d’approvisionnement parallèle. (rires) Je m’en fais ramener régulièrement des Saintes. Ils sont faits par une dame que je connais et dont je tairai le nom pour ne pas épuiser ma source. Et quoi qu’il arrive mon ami Gabriel Foy, le pâtissier guadeloupéen (d’origine saintoise) m’en fait toujours quand je suis de passage ! Je les cache. (rires) Et quand j’arrive à Paris, je les congèle.
… vous organisiez un dîner convivial, quels sont les cinq convives que vous inviteriez à coup sûr ?
Des convives connus ? Si ce n’est pas le cas, évidemment mes amis, les plus proches. Ceux pour qui j’ai plaisir à cuisiner.